Quelle est la formation que tu as suivie à SUPMODE ?
J’ai suivi la formation Bachelor Stylisme, Modélisme et Marketing de Mode, avec la spécialisation Marketing en 3ème année, précédée de 4 semaines de prépa.
Qu’as-tu fait après l’obtention de ton diplôme ?
Après l’obtention de mon diplôme en 2017, j’ai continué mes études pendant 2 ans à Paris.
J’ai passé mon diplôme de Responsable de Communication de Mode à l’Atelier Chardon Savard.
Suite à mon stage de fin d’études chez ba&sh, je suis restée travailler chez eux en contrat freelance quelques mois, puis j’ai été recrutée en CDI chez Comptoir des Cotonniers en mars 2020.
A quel poste es-tu aujourd’hui ? Dans quelle entreprise es-tu ?
Aujourd’hui, je travaille toujours en tant que Graphiste pour Comptoir des Cotonniers, groupe Fast Retailing.
Quelle est l’activité de l’entreprise ?
Comptoir des Cotonniers est une marque française de prêt-à-porter féminin, appartenant au groupe japonais Fast Retailing (groupe possédant des marques comme Uniqlo, Princesse tam tam, Theory, Helmut Lang…).
Quelles sont tes missions ?
Mes missions sont relativement variées.
Je m’occupe de la gestion, création et déclinaison de tous nos supports de communication visuelle « print », comme les posters/PLV en boutique, les campagnes (presse et métro), les magazines/catalogues, les stickers/décors de vitrine, les étiquettes produit etc ; mais aussi de certains supports digitaux, comme les newsletters, les posts/vidéos pour du contenu réseaux sociaux (FashionJobs, LinkedIn, Pinterest, Instagram…).
Je suis également en charge d’une partie de la communication interne : rapports de nos parutions presse, newsletters internes, charte graphique, templates de présentation, signature de marque etc. Je travaille avec beaucoup de services différents, en veillant à la cohérence en 360° de toute notre comm’ !
Quels conseils donnerais-tu aux futurs étudiants qui souhaiteraient travailler dans la mode ?
Je dirais être rigoureux et persévérant, puis constamment curieux, sur tout type d’actualité, pas nécessairement reliée à la mode.
Je pense ensuite (cela va de pair avec la persévérance), qu’il faut Oser, avec un grand O. Oser postuler à des offres qui peuvent paraître inatteignables, oser changer de ville pour une expérience professionnelle… Et pour des métiers comme le mien, ne pas avoir peur d’exprimer sa créativité.